L’énergie résulte de réactions basées sur la notion d'ÉQUILIBRE — au plan Global autant qu'au niveau des mitochondries (chambres de combustion cellulaire, jusqu'à des milliers par cellule) — en lien avec son État métabolique (mouvement, repos ou sommeil) et son état de santé du moment.
Côté cellulaire, l'énergie est générée par l’échange harmonieux entre deux gaz, soit l’oxygène (O2) inspiré et le dioxyde de carbone (CO2) produit par la dégradation de glucose (dont la réaction débute avec l'ingestion d'aliments). Ce glucose est emmagasiné surtout sous forme de glycogène (foie, muscles), le surplus l'étant dans les tissus adipeux (graisses).
Or, dans les situations de respiration rapide,
ÉNERGIE et respiration
[Hyperventilation], le corps expulse plus de CO2 qu’il inspire de O2. Ce DÉSÉQUILIBRE ou dysfonctionnement mitochondrial empêche le transporteur — les globules rouges dans les Capillaires sanguins (alvéoles pulmonaires) — de libérer dans les mitochondries la juste quantité d’oxygène (O2 ) pour assurer une production adéquate d’énergie, tout en privant ces dernières de brûler des graisses (une de leurs fonctions). Par surcroît, avec moins de CO2 disponible, les vaisseaux et les artères se contractent, augmentant de fait la pression (artérielle) tout en réduisant le flux sanguin (quantité de O2) vers le coeur et le cerveau. Enfin, soulignons le lien entre dysfonctions mitochondriales et vieillissement musculaire.
Au contraire, une respiration normale, couplée à de l’exercice modéré (qui permet d’augmenter le niveau de CO2), génère rapidement de l'énergie, un état qui peut toutefois être paralysé, voire diminué, en cas d'un Comportement inadéquat souvent lié à un manque de volonté/discipline, surtout au niveau Alimentaire.
Par ailleurs, comme le cerveau consomme au moins 20 % de l'énergie (calories) du corps humain, il est pertinent de compenser la perte due à l'inertie physique — ex. lors d'un travail intellectuel — en prenant des pauses respiratoires revigorantes tout en évitant les Postures énergivores.